Le Mans – Bordeaux (10/12/2005)

Le Mans – Bordeaux (10/12/2005)

Le Mans – Bordeaux (10/12/05)

N°30 : Le Mans 1 – 0 Bordeaux (10/12/05) / Stade Léon Bollée

Compte-rendu

En ce samedi 10 décembre, il fait un temps magnifique, quoi qu’un peu frais. 14h, j’émerge doucement de mon lit, la nuit a été dure, je fais l’impasse sur le p’tit dej’, j’ai pas trop de temps à perdre, le rendez-vous pour partir au Mans a été fixé à 15h45. Finalement c’est avec 5 min de retard que je retrouve la petite bande, le bus est déjà arrivé, il ne manque plus grand monde. Un bonjour rapide à tous, la plupart étaient déjà présents il y a 15 jours pour le match de Saint-Etienne, au final nous n’accueilleront donc aujourd’hui que quatre nouveaux. TaraO est presque sage pour une fois, je ne saurais dire si c’est
1) parce que sa douce est à ses côtés pour ce déplacement
2) parce qu’il veut pas saloper son beau costard
3) parce que j’ai pt’être pas encore complètement décuvé de la veille et que ma perception en est légèrement altérée…

Finalement, après avoir attendu les quelques retardataires (Pam a sorti comme excuse qu’il travaillait, quelle vaste blague ), nous voilà partis, direction le Mans et son stade Léon Bollé. La grande occupation de cette première partie du trajet sera de critiquer le dvd réalisé suite au déplacement de St-Etienne: ‘ça c’est trop long’, ‘ça c’est bien’, ‘ça ça passe pas’ (non, il n’y a aucun sous-entendu à la con dans ces phrases là, bande de petits pervers que vous êtes ). Au final c’est quand même super sympa et bien drôle de se revoir tous sur le petit écran, et moi finalement cet interlude vidéo a fini de me réveiller, je suis enfin prêt

Première et unique pause, pas de quoi faire un buissonage pour le moment, du coup on se contentera d’une petite partie de foot improvisée sur le parking de la station. Coucou à ben-becker et zarco croisés dans la boutique, et hop, on repart.

Viens alors le moment de la présentation des nouveaux, qui comme d’habitude, viendront vanter leurs mérites auprès du président et de son micro. Le premier candidat est donc Laurent, qui nous promet de nous aider lors des prochains déplacements à l’étranger, son english est plutôt good (ce qui après tout est assez normal pour un enseignant de la langue de Shakespeare ). Deuxième candidat, Benjamin, à côté de qui Nico fait tout petit. Ce gentil garçon est encore étudiant, mais il a quand même droit à son jour de paye grâce aux suédois. ‘ça dépanne’ commentera t-il sobrement: rires au fond du bus. Nous entrons au Mans au moment (au Mans au moment, c’est rigolo ) où s’approche le troisième candidat, qui est une candidate: bienvenue à Justine. Elle aussi est étudiante, et elle aspire à devenir scrïpte. Alors scrïpte qu’est-ce que c’est ? Et bien Justine nous explique que c’est celle qui vient dire à l’actrice principale de bien remettre ses cheveux comme sur la prise précédente avant de tourner une nouvelle scène. Vachement important comme rôle donc. Nico, très impressionné, avoue alors qu’il aurait bien aimé faire scrïpte: Justine le tacle alors par derrière en lui rétorquant qu’il n’avait qu’à faire des études. Rires encore au fond du bus, moi du coup ça y est, j’suis fan de la demoiselle et de sa répartie. Viens alors le tour de Romain, frangin de Justine, mais pas de chance, il nous faut abandonner les présentations pour se concentrer sur la route et trouver le stade. Parce que jusqu’à maintenant, on a trouvé la cathédrale, le théâtre, mais pas le stade. Finalement on y arrive, mais on rate le parcage: pas grave, José, notre chauffeur, nous remonte une rue complète en marche arrière, et hop, nous voici finalement dans le parcage.

Sur place on retrouve quelques connaissances, on découvre surtout la ‘tribune’ visiteur: une belle tribune démontable… Frissons garantis lorsque le parcage se met à sauter. D’ailleurs je suis agréablement surpris: le parcage est bien rempli, d’ailleurs le stade est lui aussi pratiquement plein. Côté bordelais toujours le même message de soutien au supporter incarcéré, les chants sont lancés, le match va débuter.

Il démarre plutôt bien pour Bordeaux: avec des girondins bien en place, le Mans ne parvient pas à être dangereux. Au contraire même, le premier frisson vient d’une frappe trop croisée de Faubert, puis d’un coup-franc dangereux à 20m des buts qui ne donnera rien. Viens alors le tournant du match: on vient de passer les 20 min de jeu, quand Fernando tacle un peu durement le japonais Matsui. Les manceaux s’emportent, début de mêlée générale, et finalement l’arbitre, M. Garibian, expulse directement le bordelais ! Stupeur dans le parcage, jouer plus d’une heure à 10, ça va être long… Mais bon, on y croit encore (j’y crois encooooooooooooreeeuh… Hem, pardon). La suite nous donne raison, les manceaux ne montrent pas plus de jeu en supériorité numérique qu’avant. Côté bordelais on tente des gestes techniques de folie, on a même vu Jurietti oser une relance du gauche… qui a fini dans les tribunes des latérales. En fin de mi-temps, Le Mans se montre une première fois dangereux, avant finalement d’ouvrir le score à la 43ème minute… La mi-temps est sifflée, dans le froid et le vent de Léon Bollé, c’est pas vraiment la joie côté supporters bordelais… En deuxième mi-temps, les bordelais tenteront bien, mais trop timidement pour vraiment pouvoir ramener quelque chose. Là j’avoue que j’hésite pour élire l’action de cette deuxième mi-temps : les dix minutes de Leroy, entré à la place de Chamakh pour ensuite aller directement au vestiaire lors de son remplacement par Denilson, ou bien la tentative de ciseau (oui oui, ciseau ) de Jurietti, encore lui, tentive qui se conclue par la mise en orbite du ballon. Au final une troisième défaite cette saison, heureusement on ne restera que 5 min de plus dans le parcage, on aura au moins évité d’endurer plus longtemps le froid.

Le retour se fera ma foi très calmement, on laisse TaraO et sa miss sur place, ils retrouvent des amis, nous en rentre directement sur Paris, avec comme but d’arriver avant le dernier métro. Du coup pas de pause, et donc pas de buissonage, chose rare sur un déplacement MB IDF. Mais que Laurent, Benjamin, Justine, Romain et Cyril (qui y a échappé pour la deuxième fois, c’est pas normal ) se rassurent, ils y auront droit quand même. Histoire d’égayer un peu le retour, on se repasse quelques bons moments en vidéo : le 4-1 face à Marseille de 99, ainsi que le 3-0 face au Milan AC en 96. Nico avoue alors que ces moments là sont pt’être les meilleurs des déplacements, du coup Cyril propose qu’on enregistre tous les matchs puis qu’on les visionne le lendemain dans un bus qui ferait des tours de périf : bon, c’est une idée comme une autre hein, mais va trouver une station avec des buissons autour du périf… Enfin bref, finalement nous arrivons juste pour le dernier métro à Paris, tous le monde se sépare à regret, évidemment. A+ tout le monde, c’était encore une fois très sympa, rendez-vous pour la prochaine sortie

Merci DJIKSTRA


St Etienne – Bordeaux (26/11/2005)

St Etienne – Bordeaux (26/11/05)

N°29 : St Etienne 1 – 1 Bordeaux (26/11/05) / Stade Geoffroy Guichard

Compte-rendu

Saint-Etienne – Bordeaux, deux grands clubs du championnat de France. S’il y a un stade mythique, c’est bien Geoffroy Guichard. Nous avons tous rendez-vous (sauf 10 qui nous rejoindront à Saint-Etienne) à 7h15 porte d’Orléans. Départ vers 8h00 car Fabrice est en retard, tant pis, il paiera sa tournée.

Ca commence fort dans le bus, ça chante, ça boit et nous faisons la connaissance des nouveaux, Ryvireak et sa femme, Bunnawadh (j’espère que l’ortho est bonne) qui attendent un heureux événement. On saura le 23 décembre s’il s’agit d’une fille ou d’un garçon. Séverine (qui a vaincu sa timidité) et Damien (PSP man), puis Kevin qui n’est pas vraiment nouveau mais qui tient quand même à se présenter. Il nous informe qu’il ne boira que du Perrier et on le croit.

Ensuite visionnage du match MB-IDF – Esprit Canari, la 2ème édition du trophée Atlantique. C’est sympa de se voir jouer, nous en profitons pour nous remémorer cette superbe victoire et bien rigoler devant certaines actions, notamment les dégagements pitoyables du gardien de but bordelais, les passements de jambe foireux de Nono ou les relances approximatives de Gégé, notre déplumé préféré.

Distribution de café, chocolat chaud, thé et croissants, l’organisation prouve une fois de plus qu’elle est à la hauteur. Naty s’étonne même que le café préparé par Nico soit bon. Ca continue de chanter et de boire alors forcément, rien d’étonnant à ce que soit réclamée une pause vidange qui nous permettra par la même occasion de nous dégourdir les jambes.

Retour dans le bus. Nous passons le temps comme nous pouvons. Certains chantent (encore !), discutent, prennent des photos, filment (Goléador), lisent ou matent la télé sur laquelle passe une vidéo des nuls. Kevin profite que tous les regards soient rivés vers l’avant pour attirer l’attention sur le fait que nous ne chantons pas assez. Nous nous inquiétons qu’il en soit au moins à sa quatrième bouteille de Perrier et que si ça continue, avec toutes ces bulles il va finir par exploser.

Il fait beau dehors. Les kilomètres défilent et nous nous approchons doucement de notre deuxième halte où nous rejoignons un car de supporters stéphanois. C’est la pause-déjeuner. Certains mangent à l’intérieur tandis que d’autres se risquent à manger dehors en regardant tels des bovins les voitures passer, à défaut de trains. Crash-test de Kevin sur un panneau de menu monté sur ressort. Ca a l’air confortable et solide, surtout. Avant de partir nous posons en compagnie de nos amis tout de vert vêtus devant les bus et déployons nos écharpes.

Je guette les réactions des gens, étrangers aux groupes, qui assistent à la scène. Belle image que celle de ces supporters qui partagent deux passions, celle de leur club et d’un sport, le foot. Les écharpes mélangées donnent de la couleur au tableau qui pourrait être montré dans certaines émissions où l’on parle de violence dans le football. Ces images ne feront pas oublier qu’il y en a toujours, hélas, mais prouveront qu’il n’y a pas que ça. Bref, passons.

Nous reprenons la route et nous approchons petit à petit de notre destination. Vous prendrez bien un whisky ? Juste un doigt. Vous voulez pas un whisky d’abord ? Parlez-moi de vous plutôt. Non, Odile, moi c’est Odile, Pluto c’est l’ami de Mickey. Non c’est le chien de Mickey, l’ami de Mickey c’est Dingo. Sur ces quelques dialogues d’un film bien connu nous arrivons à Saint-Etienne où nous attend une file interminable de bus. Nous réjoignons le parking réservé aux visiteurs. Nico descend en marche, fait un roulé-boulé, récupère les billets et remonte aussi sec. Nous les récupérons à la sortie du bus et admirons les extérieurs du stade Geoffroy Guichard. Brève palpation de sécurité à l’entrée, nous pénétrons dans l’enceinte (comme Ryvireak quelques semaines plus tôt, qui est comme chacun sait maintenant, le chien de Mickey.) Il est 16h30. (Ne réglez pas vos montres, je parle de l’heure à laquelle nous entrons dans le stade).

Premières impressions : c’est beau, c’est haut, c’est vert et orange ! Nous nous empressons de regagner nos places et commençons à chanter, à sauter aussi car ça caille sous le ciel bleu stéphanois. Nous prenons des photos, les gardiens entrent pour s’échauffer vers 16h45, Janot vient saluer son public et nous salue aussi. Salve d’applaudissements des deux côtés, j’entends un « pas sùr que Letizi soit accueilli de la même manière » derrière moi. Un ptit coucou de Ramé vers notre tribune. Ils sont suivis quelques minutes plus tard par les joueurs et Naty est navrée de l’absence de Chamakh.

17h15. Le tifo est suberbe et abhorre le scapulaire et l’écusson de l’ASSE. Magnifique ! Une minute de silence est observée et respectée à la mémoire d’un supporter des Verts décédé lors de la rencontre Saint-Etienne – Auxerre. A noter aussi le soutien apporté à Julien, un supporter bordelais incarcéré à la suite d’incidents lors de la rencontre PSG – Bordeaux, soutien sous la forme d’une banderole intitulée : « Respect à toi Julien, tous avec toi ! » Une mouette passe au dessus du stade…

Le match commence. Mal, puisque sur un corner Ilunga marque de la tête à la première minute. A noter l’intervention assez limite de Ramé, qui passe complètement au travers. C’est le monde à l’envers, c’est l’ASSE qui joue en contre. Certes, ils mènent au score, ils nous attendent donc. Frappe de Darcheville à la 25ème minute bien captée par Janot. Les bordelais dominent timidement sans se créer de réelles occasions.

La température a chuté de 2 degrés en l’espace de 20 minutes, il fait maintenant 0°, pas besoin de nous réchauffer nous continuons à chanter et sauter. Bordeaux fait le jeu mais l’attaque reste muette. Mi-temps. A la reprise Smicer est remplacé par Denilson, qui apporte un petit plus à Bordeaux, notamment grâce à ses débordements. Bordeaux a la main-mise sur le match, mais que de maladresses devant le but ! Le défaut de Bordeaux reste le même, il nous faut toujours 36 occasions avant de marquer. A noter la superbe intervention de Janot qui détourne in extremis une frappe de Perea que nous avions tous vue au fond.

75ème minute. Sur un ballon renvoyé de la tête par Diawara, Faubert reprend de 20 mètres et loge le ballon au fond des filets. La tribune des visiteurs s’enflamme. Le voilà enfin ce but que nous attendions tous. Et il est mérité. La fin du match verra l’expulsion de Darcheville pour un coup donné à Hognon, carton rouge direct.

Coup de sifflet final. Un point à Saint-Etienne, c’est pas si mal. Beaucoup se sont cassés les dents sur la défense stéphanoise et l’excellent Janot, qui est resté rappelons-le 1534 minutes sans encaisser le moindre but à Geoffroy Guichard.

Quelques joueurs bordelais viennent nous saluer ainsi que Feindouno, le maillot de Bordeaux à l’envers, qui reçoit une salve d’applaudissements et entend scander son nom. Toujours sympa le Feindou !

Nous regagnons le car et repartons vers 20h30, avec le sourire. Il fait – 2°. Nous nous arrêtons une heure après pour dîner, Nico prend du fromage de chèvre que mange Ben-Becker, sous l’œil inquiet de Naty qui voit ce dernier renverser du coca dans ses lentilles. Je regarde en sortant du resto-route s’il y a quelques buissons appropriés, pas grand-chose à se mettre sous la dent.

Vers minuit nous refaisons une pause, la dernière, et les hostilités commencent. C’est l’heure du buissonnage, et il sera neigeux. Séverine refusant de se laisser faire c’est Damien qui se dévoue pour aller goùter de plus près la verdure blanchâtre. Ryvireak n’y coupe pas non plus, il était resté dans le car, priant que Nico l’oublie. Salie prend des photos, Tarao mène le bal et balance tous ceux qui passent à portée de main. Djikstra qui n’est pas nouveau pourtant s’en donne à cœur joie et ressort tout blanc d’une mêlée digne du France – Afrique du Sud de l’après-midi. Je crois que Tim a eu droit aussi à un bref séjour dans la poudreuse, Jean-François n’en parlons pas, il en a mangé même. Il me semble même avoir vu Protus nous prouver qu’il pourrait faire partie de la prochaine équipe de France olympique de plongeon. Perso j’aurais bien jeté Salie et Ptite Gégé dans la poudre mais elles étaient déjà maquillées.

Pour finir, un vol plané de quelques barjots dans le seul buisson où il reste de la neige, sous l’œil de la caméra de Goléador, et un magnifique craqué de fumigènes pour la photo collégiale. La tronche du type de la station quand on est re-rentrés pour se sécher un peu dans les toilettes, j’aurai du la prendre en photo. C’est trempés que nous nous dirigeons pour la dernière fois vers le car où nous attendent quelques fourbes qui nous accueillent à coup de boules de neige. On avait dit pas les affaires !

Les derniers kilomètres se font en compagnie de Bernie (le plus embêtant avec les oiseaux, c’est les becs). Dehors il fait toujours – 2, c’est possible ? Quelques flocons rendent la route un peu glissante mais le chauffeur assure. Merci à eux deux, pas un seul à-coup dans la conduite, toujours de bonne humeur et d’une grande patience (surtout pour donner le micro à qui le veut).

Arrivée vers 3h45 porte d’Orléans. Nettoyage du bus et tout le monde repart. En résumé, une journée mémorable, pour ma part une première à Geoffroy Guichard. C’est l’heure des remerciements, aux organisateurs, à ceux qui ont assuré l’intendance et tous ceux qui, par leur attitude et leur bonne humeur ont fait que ce 26 novembre 2005 restera gravé dans nos mémoires.

Merci WAOOOOO


Metz – Bordeaux (01/10/2005)

Metz – Bordeaux (01/10/05)

N°28 : Metz 1 – 0 Bordeaux (01/10/05) / Stade Saint Symphorien

Compte-rendu

Nous sommes le Samedi 1er Octobre 2005, et 3 Metz Capitaux ont rendez-vous à la Porte d’Orléans, lieu de départ du bus des Bordelais de Paris.
La plupart de nos membres ne peuvent pas venir, ou sont déjà sur place et ce sont donc Mix Curt, Toni Truand et Loustik qui se présentent au rendez-vous.
Les Bordelais arrivent, et il ne reste donc plus que Loustik (qui pensais que le rdv était fixé à 14h50… après quelques minutes d’attente, nous sommes en route pour la Moselle ou se joue la 10e journée de Championnat entre la lanterne rouge, Metz et Bordeaux le 3e du championnat.
Après quelques kilomètres, 20 minutes de route, un MC, fidèle à sa réputation se dirige vers les toilettes, les mains dans les poches, sifflotant, heureux à l’idée d’évacuer un trop plein de Leffe et de Malibu-Coco-Coca. Et là, c’est le drame… un MB annonce que les toilettes sont fermés et qu’ils n’ouvriront pas (du fait des derniers dép ou apparemment certains auraient salopé lesdits toilettes)… coup dur pour les MC, habitués à uriner plus saoul vent qu’à leur tour, d’autahnt plus dur que la première pause pipi est censé arrivé pas avant 1h30!!!!!! Deux solutions se présentent alors à nous: la première est de ne pas boire les mélanges soigneusement préparés pour le dép, la deuxième étant de se servir d’une bouteille de Yop (et son gros goulot) comme urinoir. Après réflexion la 2e solution sera choisie.
L’ambiance est détendue à bord du bus marine et blanc, Grosnico fait alors une présentation des 74 nouveaux membres (j’exagère à peine) présent à bord… on apprend que le préz’ des MB est le fils caché de Jacques Martin, et les questions pour connaitre ces bleu-bites ce succèdent…. prénom, profession, passion, chanson, buisson?, sodom…. enfin ça ils ont bien essayé mais Lauuuuureeeeeeent ne voulait pas (au grand dam de Nico, Tarao puis de tout le bus)… bref une présentation bien simpa mais qui pourrait en bloquer plus d’un (les MB peuvent se le permettre ils ont 457 demande d’adhésion par jour lol)….
bref, quelques minutes plus tard on a toujours envie d’uriner alors les tentatives dans la teille de Yop se succèdent, mais malgrè le mur humain fait par les autres MC, imposssible eud’faire…
donc tant pis on continue de picoler, leffe, puis fait son arrivée Charles de Beaucourt (un mousseux contenant des sulfites à 85 centimes qui, pour sùr sera réinvité!) etc etc…
Mix Curt et Loustik se voient remettre leur carte de membre MC, et écoutent attentivement tout les avantages que leur procurera celle-ci…
Leur de la pause à sonné, les premiers buissonnages (bizuitage MB, l’équivalent de notre Mouncharaï, sauf que chez nous c’est le sport national et qu’on essaye pas d’y échapper)… retour à bord du bus, et la Sektion Bambu entre en action: présentation du produit, chants à sa gloire, et tournée dans le bus (seuls 3 MB refuseront d’y goùter)… pour sùr de nouveaux membres viendront grossir les rangs de la SB04.
Les litres se succèdent à mesure qu’approche notre belle ville de Metz, la bouteille de yop a bien été rempli entre temps, à 5mn de la première pause (ça brùlait trop), puis à nouveau par la suite (obligation de transvaser le contenu dans une autre bouteille au goulot pls petit, c’est que c’est technique)…
Appel de NeuOeil et Grenate, les MC déjà présent sur place, montée à bord de ces derniers (qui fument dans le bus pfffff) puis les MB nous lâche près du Lidl et du Stade… on retrouve alors Tonio, et les forumistes qu’on oublie pas de saluer bien sùr… puis bon, cassage de lunettes apparement et d’autres truks sur lesquels on ne peut revenir (j’ai la mémoire qui flanche…) … on prend place dans le stade, puis début du match, j’ai pas vu grand chose, surtout parce qu’il n’y avait rien à voir, circulez… 90 minutes et une défaite plus tard, la foto des 3T effectuée, il était temps de regagner notre bus… autant ça fait bizar d’arriver à St Symph’ en bus, autant ça fait encore plus bizar de rentrer dans la Est et de sortir avec les supporters adverses…
le retour sera plus calme (un de nos membres apprenant que sa soeur est sur le point de mettre au Monde un petit Quentin de 51cm et 3,580kg héhé), on se fait un peu chambrer, normal, puis comme de coutùme, on se fait le répertoire de mon portable… petits kikooos à nos amis qui n’ont paspu venir, puis arrive l’heure d’un nouvel arrêt. Buissonages de ceux qui y avaient échappé jusqu’alors…. et entrée en action des Mouncharaïeurs les plus téméraires: un 2-2 MB-MC qui verra différents buissons prendre plus cher que des putes de luxe hihihi tout y passe, saut synchros à 4, différentes figures…. du grand art… et dire que ma maman m’avait dit de pas me salir hihihih
Puis c’est l’heure de l’arrivée… 3h du mat’, mais pas dans le calme, à cause de la satané Nuit Blanche, qui nous voit attérir dans des Noctiliens bondés… Lauuuureeeeeent manque de se tuer 17 fois dans le court trajet Porte d’Orléans-Chatelet et on a peur qu’il rende sur des passagers hihi.
Finalement tout le monde rentre chez soi, c’est qu’il faut être en forme pour le dernier jour du Week-End Grenat, Marine et Blanc avec pour finir en beauté le match entre Bordelais et Messins de Paris…
Quoiqu’il en soit, on a passé un excellent samedi, et on espère que d’autres dép seront possible dans le futur (faudrait que nos joueurs se réveillent pour ça) et en espérant être plus de MC à ce moment là (parce que niveau chant on a été un gros ton en dessous de nos prestations habitueles laul.
Merci à vous amis MB, bonne coninuation, Kikooooo!

Merci TONI BAMBU


Lens – Bordeaux (11/09/2005)

Lens – Bordeaux (11/09/05)

N°27 : Lens 1 – 1 Bordeaux (11/09/05) / Stade Félix Bollaert

Compte-rendu

Pas de compte-rendu


Auxerre – Bordeaux (13/08/2005)

Auxerre – Bordeaux (13/08/05)

N°26 : Auxerre 1 – 0 Bordeaux (13/08/05) / Stade Abbé Deschamps

Compte-rendu

Le rendez-vous était fixé Porte de Vincennes, métro St Mandé Tourelle, sortie rue Gallieni… A 15h…Bien sùr, certains sont sortis au métro porte de Vincennes… C’est pas le plus drôle, le plus drôle c’est que rue Gallieni, y’en a pas de sortie de c’nom-là… Enfin, lorsque j’arrive, je vois direct les habitués, en grappe, et les autres, un peu perdus, cherchant du regard l’arrivée d’un frère, d’un ami, de quelqu’un qui les reconnaîtraient et qui leur diraient ‘ah! T’es là toi ?!’ … Fumi m’a tout de suite vu arrivé avec mon pack de 30 binouzes de chez maître kanter… Chez les habitués, ça taille la chambrette (il parraît que le sac de pam est rempli de victuailles, c’est fumi qui se charge de vérifier, mais pas longtemps parce qu’il craint des représailles) En effet, moi qui, astucieusement bien placé, ait l’œil au dessus du sac, j’aperçois, comme fumi, par 5 cm d’ouverture, un paquet de chips… Bon, on va pas passer le Cr sur la réputation de Pam, elle est déjà faite… … Tarao arrive cool raoul en roller-boule, puis le prez, en voiture, entouré de deux pom-pom girls… Enfin ! Des nanas ! Clameraient d’irréductibles célibataires mais comme ce n’est pas mon cas, je me contente d’un hochement de tête satisfait…. Voili-voilà, quelques présentations, (des nouveaux y’en a plein la malle) et nous voici partis en compagnie de quelques auxerrois en bas-âge (sauf un qui n’a plus d’cheveux)… Le chauffeur semble bien sympathique, il distribue des sacs plastiques, au cas où… A l’arrière, l’équipe DDE Tarao / Fumiboy se charge d’agiter les bras et de donner de la voix… Le premier fait étendue de tout son talent en interprétant une jolie chanson grivoise et le second, a vite fait de se retrouver en calbute, bob sur la tête, et de chanter (‘crier’ devrais-je dire…) en veux-tu en voilà…. Le prez fait sa tournée de manzana, les binouzes sont déjà décanillées, nous ne voyons pas le temps passé.. (le prez glisse une vidéo sur l’écran avec duga, liza et zizou et la campagne UEFA…) A 30 km d’auxerre, on fait une pause ‘arrêt d’autoroute’, sur une aire qui ne sera pas de tout repos pour quelques uns qui ont goùté le parfum du sapin… Tout le monde en est content, mais le prez a du courir… beaucoup courir…

Arrivés au stade, on devance un car que d’aucuns croient être celui des joueurs (‘j’ai vu Faubert !!!, j’ai vu Faubert !!! ‘ s’exclame l’un – ‘mais non, ils sont 5, c’est les gars d’la sécu’ répond l’autre – ‘Ah bon !’ Quoi qu’il en soit, un p’tit groupe de marine et blanc, à l’arrière, donne de la voix et continue d’agiter les bras, en direction du bus, devant les regards amusés ou indifférents de leurs passagers…

L’excitation monte… On descend… et on attend. En compagnie de quelques uns, on part à la recherche d’un coin pour satisfaire l’envie naturelle chatouillée par des litres de bière que la pause pipi / buisson n’aura pas assouvie. D’autres s’accrochent aux grillages derrière lequel se joue un match de foot.. Comme les grillages ne sont pas fait pour s’y accrocher, et ben, on leur fait remarquer… gentiment… mais avec les flics, y’a un rapport de force qui s’installe… c’est comme avec les vigiles, ou ceux qui voulaient pas nous laisser entrer dans le parking pour faire la chose naturelle, voilà, c’est pareil, ils voient ‘supporter’, alors eux ils sortent l’attitude ‘autorité’… Mais le rapport de force en question, c’est un jeu, un jeu d’influence, d’intimidation, un jeu de chat et de souris, c’est de bonne guerre…

Le car des Devils arrive… Ceux d’entre nous qui arborent la marque de fabrique ultra restent pas loin… Forcément, entre ultra, on se connaît… Bon, moi, je connais pas… Je croise des bordelais, mais en fait, je croise des ultras bordelais et c’est pas la même chose… Je me fend d’un petit sourire amical, genre ‘on est bordelais, c’est cool ça !’ et je reçois comme réponse… euh, ben rien… même pas ils m’ont vu les mecs, pourtant j’avais le tee-shirt MB IDF et l’écharpe saison 86-87… mais pour un ultra, ça compte pas… Eux, ils écument les kilomètres, la France entière depuis des années, ils chantent, ils crient, ils se battent même, tu parles, c’est pas kasta, le p’tit bordelais qui avait son école rue Albert Thomas, à côté du stade, qui va les émouvoir… Et puis moi, j’ai pas l’oreillette du MP3 collée à l’oreille…

Après une heure, tandis que Nico, entouré d’une ribambelle de fans, explique à un type de France-Foot, comment remplir son article, lequel est tout étonné de voir des auxerrois dans le même car que nous, bref, après tout ça et la boîte de bonbons haribo de tarao avalée, on finit par entrer en tribunes… Installation de bâches avant que la horde marine n’arrive, photos, bienvenue à l’abbé deschamps ! Le temps passe vite, le match aussi… Les Ultras mènent la danse, font l’ambiance et nous on les suit, parce que c’est beau des supporters unis, qui chantent et se soulèvent, qui espèrent… Le kapo en vient même à faire dans le pathos, lorsqu’il rappelle, mégaphone en bouche, les générations de bordelais qui se sont succédées avant la nôtre, il galvanise les racines identitaires… il fait bien son boulot le kapo… on ne se ressemble pas, personne ne ressemble à personne, et pourtant, tunique marine sur les épaules, le scapulaire sur la poitrine, ‘nous sommes tous bordelais’ et nous chantons ensemble, voilà ce qui nous rassemble… Le match se termine, défaite 1-0, des regrets sur la pelouse… ça se voit lorsque quelques joueurs viennent nous saluer, Lilian, Rio, Ulrich, la tête est lourde, comme les jambes, et les bras ne sont pas levés bien haut… Dernières photos face au terrain, on reprend le car, escorté par des motards… L’ambiance est moins festive qu’à l’aller, et curieusement, on entend pas les auxerrois… Ah !C’est parce qu’ils sont pas là! Stop ! On attend aux abords du stade, (on avait fait que 500 mètres) et après 5 minutes, les voilà qui déboulent, banane aux oreilles… Mais ils resteront sages tout au long du trajet vu qu’ils sont en infériorité… On fait une pause sur l’aire d’autoroute, et une photo de groupe avec crac de fumi… Sur le périph, Cathy fait marcher son réseau d’influences et deux motards se font fort de nous escorter jusqu’à porte de vincennes… Certains, comme le prez, sont pas peu fiers, convaincus que l’assoc prend une toute nouvelle dimension, change de statut, accède à une toute nouvelle notoriété (que l’article de France-Foot viendra confirmer), d’autres, moins enthousiastes se demandent à propos des motards : ‘Ils ont pas autre chose à foutre non?!’ On arrive, le métro est fermé, il commence à pleuvoir, certains vont rentrer à pied… il se fait tard… Mais on a passé une belle journée… Merci ! Et au revoir !…

Merci KASTA


Bordeaux – Marseille (28/05/2005)

Bordeaux – Marseille (28/05/05)

N°25 : Bordeaux 3 – 3 Marseille (28/05/05) / Stade Jacques Chaban Delmas

Compte-rendu

Pas de compte-rendu


Lyon – Bordeaux (15/05/2005)

Lyon – Bordeaux (15/05/05)

N°24 : Lyon 5 – 1 Bordeaux (15/05/05) / Stade Gerland

Compte-rendu

Pas de compte-rendu


Paris SG – Bordeaux (09/04/2005)

Paris SG – Bordeaux (09/04/05)

N°23 : Paris 1 – 1 Bordeaux (09/04/05) / Parc des Princes

Compte-rendu

Pas de compte-rendu


Lens – Bordeaux (19/03/2005)

Lens – Bordeaux (19/03/05)

N°22 : Lens 2 – 0 Bordeaux (19/03/05) / Stade Félix Bollaert

Compte-rendu

Samedi 19 mars 2005. En me levant je me dis que la journée va être longue. C’est mon premier déplacement, après un footing décrassant les quelques Leffes bues la veille et une douche bienfaitrice décrassant cette fois mon magnifique corps de rêve, j’enfile mon slip fétiche, celui-là même que j’avais mis quand j’étais allé voir Bordeaux – Lorient au Stade de France. (il est dédicacé par Karen Chéryl pour la petite histoire).

Je sors le scoot et me dirige vers Rueil Malmaison. Arrivé devant la gare RER, Renaud me rejoint et nous finissons par nous mêler à un petit groupe de supporters bordelais que nous ne connaissons pas, qui attendent comme nous. Vu l’écharpe bleue et blanche qu’ils arborent nous les embrassons affectueusement. Ils nous expliquent qu’ils sont nouveaux et qu’ils viennent avec nous. Nous les embrassons de nouveau avec plus de ferveur cette fois.

Après avoir attaché mon scoot à un panneau de signalisation, je prie pour le retrouver le soir sinon va falloir rentrer à pied en portant Salie sur mon dos étant donné que je suis chargé de la ramener après. Je l’attache tellement bien que même une armée de la DDE dotée de marteaux piqueurs ne pourrait même pas le déloger.

Finalement le prez arrive et nous indique l’endroit où nous devons attendre le bus. Petite précision, il arrive dans une Fuego rouge assez jolie. Plus tard on m’a expliqué que c’était une Porsche, c’est à s’y méprendre !! La Fuego est remplie de bouffe et de boissons en tout genre.

On décharge tout ça et l’énorme poche des sandwiches laisse présager qu’ils ont passé pas mal de temps à les beurrer ce qui n’est pas sans nous rappeler une certaine scène des tontons flingueurs et la célèbre réplique : ‘mais dis donc on est tout de mêmes pas venus pour beurrer des sandwiches ??’ Vu la quantité de boissons pétillantes nous allons pouvoir nous beurrer nous-mêmes finalement… Merci à eux pour les préparatifs en passant.

Nous sommes rejoints petit à petit par la fine fleur de l’assoce que je ne nommerai pas car je vais en oublier et après je vais faire des jaloux, parmi eux à noter toutefois la présence d’une certaine Barbie, belle poupée en plastique qui parle et qui bouge (elle a parlé et bougé toute la journée sans faiblir, merci Duracell). Salie a encore du beurre sur son pantalon et Pam s’empresse de nettoyer tout ça à l’aide d’une bouteille d’eau. Quand on peut rendre service !

Finalement, le bus arrive, rempli de types tout de sang et or vêtus. Présentations, embrassades, le président des Chtis Gavroches nous accueille chaleureusement et nous prenons place dans le bus, que dis-je, THE bus, qui ressemble à lui tout seul à une des tribunes de Bollaert. Nous y mettons quelques écharpes de Bordeaux histoire de colorer encore plus ce qui sera notre maison pendant 2h30 environ.

Arrivée après quelques rasades de boissons pétillantes et interdiction par le Prez de toucher aux sandwiches (à noter quand même une petite chanson dans une station-service qui a fini par lâcher les chiens nous prenant pour des fous) au stade Bollaert. Nous laissons nos lensois (pas facile à dire ça, nous laissons nos lensois, c’est comme ta touffe m’étouffe) et nous dirigeons vers l’entrée visiteurs. Prisage des places par Gibaldipontin et entrage. Délicieux moment que celui des palpations de sécurité à l’entrée, de beaux gendarmes mobiles rien que pour nous j’ai failli en ramener un à la maison.

Une fois dans la tribune je prends des photos. Le stade Bollaert se remplit et se colore, j’en profite pour prendre quelques photos des pom-pom girls qui passent devant nous et enregistre certains commentaires, notamment : arghhhhhhhhh ! J’espère qu’en hiver elles sont un peu plus habillées en tout cas. Remarquez, des pom-pom girls en manteaux et boots c’est pas terrible non plus. Après avoir mitraillé les pom-pom et zoomé sur leurs magnifiques heu… pompoms, le match finit par commencer.

Que dire du match ? Pas grand chose si ce n’est que les bordelais jouent mal, très mal, et que les lensoins se baladent, inscrivant le premier but après quelques minutes de jeu. La suite n’est pas racontable. Nos bordelais n’arrivent pas à aligner 3 passes consécutives et on dirait que les lensois s’entrainent. Bref, une horreur. Bordeaux encaisse un 2ème but en début de deuxième mi-temps et c’est les yeux écarquillés que nous regardons évoluer notre équipe qui semble partout, sauf sur la pelouse. Pas grave, on chante quand même et Mavuba vient offrir son maillot aux supporters à la fin du match.

Il nous faut plus qu’une défaite pour nous enlever le sourire, et après avoir attendu une quarantaine de minutes pour qu’on vienne nous sortir du parcage, nous voilà coincés à la sortie du parking par des stewarts qui semblent attendre le feu-vert d’on ne sait qui. Encore 20 minutes d’attente et nous sortons, accueillis par nos lensois qui nous font une haie d’honneur jusqu’au bus. C’est trop gentil, fallait pas !

A noter pendant le trajet du retour une halte buissonnière dans une aire de repos où nous avons pu goùter aux joies du bizutage made in MB, à savoir un petit tour dans un bosquet qui doit être mort à l’heure où j’écris tellement il a été saccagé par quelques corps inertes assujettis à l’apesanteur. En effet, l’action de jeter tout corps vers le haut entraîne automatiquement sa redescente vers le bas (difficile de redescendre ailleurs me direz-vous).

Nous profitons également du retour pour engloutir les sandwiches et apprécier les tournées qu’offre généreusement Daniel, le prez des Chtis Gavroches, ainsi que de leurs cakes aux différents parfums. A propos de cake, Nico n’a pas montré son cul ce qui est tout de même étonnant. Peut-être sa timidité l’a-t-elle emporté sur sa fougue habituelle ou était-il trop fatigué pour descendre son jogging ? (maculé de buisson car il y a gouté aussi).

Arrivée à Rueil, re-embrassades, je récupère Salie et me dirige vers mon scoot qui est toujours là, ouf ! Petit briefing, tiens toi bien miss, ça va décoiffer. 40 minutes plus tard nous voilà devant le château de Salie (hé oui), le majordome m’empêche de rentrer et je rentre chez moi avec plein la tête les images d’un stade sang et or chantant Bachelet ou leur célèbre marseillaise. Ya pas à dire, pour un premier déplacement, Bollaert, c’est la classe !

Merci aux organisateurs de ce déplacement, franchement des journées comme ça, je sais pas vous, mais moi j’en redemande !

Merci WAOOOO


Rennes – Bordeaux (29/01/2005)

Rennes – Bordeaux (29/01/05)

N°20 : Rennes 0 – 2 Bordeaux (29/01/05) / Stade de la Route de Lorient

Compte-rendu

Rennes, lâche nous avec tes crêpes et fait Péter les chips !!!!

Après quelques errements dans l’organisation du déplacement (pardon…) le rdv est fixé à 14h00 Porte d’Orléans (comme d’hab’) j’arrive à 13h56 et presque tout le monde est là !

Mario et sa femme et son Rotweiller de 1,50 m (gentil le chien…… gentil… lâche ma jambe Stp…. Voilà… merci…), l’Orignal, petit Orignal et la nouvelle Orignal mobile, le Gibaldipontin (qui ne râle pas encore…) puis Guigol et salie qui arrive avec une minute de retard… (je ne dis rien… mais j’en ai marre des gens en retard….) Après des démonstrations de dressage du monstre à quatre pattes assez impressionnantes, la femme de Mario nous quitte (dommage) avec son arme de destruction massive quadripode (tant mieux !). Départ vers Rennes et ses crêpes, c’est déjà le deuxième voyage à rennes des MB IDF. Sur la route, on nous a promis de la neige et de la pluie… résultat un soleil qui nous gonfle les yeux… ! la nouvelle orignal mobile est spacieuse… très spacieuse car on a même du mal a entendre les gars au fond… mais enfin bon ce n’est que Gibaldipontin qui râle sur M6 ou autre chose…

Breaking News : Zarco nous appelle de St Malo nous confirmant que le match reporter jusqu’à maintenant se trouve à Bastia ! (ça doit être la couche d’ozone – faut vraiment que j’arrête de lâcher des caisses partout moi !) enfin… bref merci Zarco… les discussions sur les girondins fusent et les débats sur l’association aussi… (Gibaldipontin râle….) grâce a nos deux chauffeurs Mario et Orignal on arrive enfin à Rennes vers 17h42, on demande à un agent de sécurité si il y a un parking visiteur, reponse : ch’ai pas moiaaaa les gens se garent au Leclerc normalement… ok on se gare donc au Leclerc local (à coté du Mc Do local) on retrouve Zarco aussitôt attendant Kenza puis Ben becker qui arrive avec un grand sourire.. genre je suis heureux.

Notre petite troupe presque reconstituée on file rejoindre la Kenza dans le centre commercial (Local) et là c’est le drame !…..

Kenza autrefois si belle a changé de coiffure et avec mon tact légendaire je lui dis : bonjour la frisouille ! elle me nargue…. Ok…. En allant au distributeur, on remarque tout un tas de supporters girondins mais peu de rennais… bizarre et étrange… on rencontre trois supporters expatriés de Laval et nous décidâmes de les adopter au sein de notre petit groupe, on part vers le stade à 200 mètres du Leclerc/Mac Do.

Un petit chemin sympa le long d’un canal/rivière je vois un stadier je lui demande il y a un parking visiteur içi, réponse : non, mais en même temps allez voir mon responsable…, ok je suis un teigneux moi ! le responsable : non, ha bon il y a des parkings visiteurs dans les autres stades ? ok pas de parking visiteur alors. On contourne le stade pour retrouver le guichet pour les places, et bien sùr on se retrouve sur le parking visiteur !!!!! (Chioooottteee !) Salut Bnc, salut lionel des Old School va bien ? tient zouzou qui danse avec trois bières… il nous salue mais bon je suis pas sùr qu’il nous a reconnu vu son état !!! une fois les places distribuées nous aussi on va prendre nos canettes réglementaires dans le bar local rempli plus de bordelais que de rennais…. (flippant….)

Curiosité local : de la rue, on voit les buts…

L’odeur de merguez me rend fou et avec mon pote mario on décide de se lâcher (tant pis le pseudo régime)

On rentre dans le stade, fouille correcte sans plus SAUF pour salie (la dame qui l’a fouillée a été un peu trop loin !!! – c’est pas à moi que ça arriverait ça !)

Le parkage divisé en deux, confortable, bonne vision, assez bonne sécurité, bien quoi… à Gauche les jeunes et Ultra et à Droite les « 3°ages », bien sur je me précipite avec le petit orignal à droite… la troupe nous rejoint mais après avoir bâché, mario et Guiguol file dans la vraie tribune, rejoints immédiatement par salie, ben Bek et gibaldipontin.

Arrive la mascotte : un paquet de chips sur patte

Une marque que l’on connaît pas… peut-être des chips locales bretonnes… ? enfin bref on rigole bien ! enfin… c’est drôle quoi ? un paquet de chips qui marche, non ? Ha bon….

Le match commence et un énorme tifo rennais se déploie… enfin non en fait.. c’est le plus pourri tifo de l’année je pense…

par contre de notre côté nos cousins devils (qui fêtent leur 15 ans !) déchirent tout avec un énorme drapeau en haut de tribune et un voile et quelques torches traditionnelles…

Le match : Finalement j’aimais bien les matchs nuls… l’équipe ne se bouge pas, par contre zarco est chaud :

« Ho dit donc il fait un carnaval, rio… »
« Alexandre frei… il doit avoir froid… frais… hein ? »

et nous on rigole, parce que le match… un peu pourri…

A la mi temps je décide de faire peur au petit orignal (9 ans) en lui disant qu’il y a des prisons dans le stade pour les supporters du PSG… (pov’ petit) je vais voir un stadier sympa (Ange) et il marche dans ma combine… il va voir le petit pour l’emmener en prison mais il s’agrippe à son Orignal de père… je décide d’arrêter la blague quand je commence a voir de la peur et des larmes dans ses yeux… Gniark ! je suis vraiment une ordure moi !

J’arrive toujours pas à me faire à la nouvelle coiffure de Kenza….

Zouzou vient nous voir à la mi-temps pour régler une histoire d’italienne assez étrange… mais il parle assez bien… je crois qu’il désaoule progressivement…)

Retour des joueurs… ça commence bien… bonnes actions.. puis Paf peno (imaginaire selon des supporters rennais rencontrés par la suite) ok on remballe.. encore une défaite (et en plus sans TaraO ) on est mal ! l’affichage du stade nous donne les scores des autres matchs en temps réel… sympa…

Gibaldipontin râle…

Je croise un sosie de gobi… et au même moment gobi m’appelle… énorme

On débâche et on repart après les dix minutes traditionnelles, une haie d’honneur nous salue pour notre départ… au revoir les gens.. on passe par notre petit chemin pour le Mc Do et on voit les joueurs sortir des vestiaires… bon bah on va voir ça…. Zarco, Salie et Ben Beck prennent des photos et les autres font signer leur billet de match, moi j’attends les vraies vedettes… : Laslandes, Pavon et Ramé, je me suis dit que nono serait content de ce billet… petites discussions éclairs avec les joueurs et autres cirages de pompes :
Ben Bek : Vas y Kalu tu est le meilleur ! lui : (dans sa tête) ha bon ?
Nico : Michel ? et pour micoud ? pas de réponses
Guigol : Michel il faut rejouer ! lui : j’peux plus….
Etc…

Moment sympa, salie a pété un câble je crois quand Planus l’a regardé…

On file au Mc Do, dégustation sympa, accueil extrêmement agréable (à la limite de l’étrange…) nos nouveaux amis de Laval nous quittent : A bientôt les gars. A noter pour l’année prochaine : Pas de buisson à ce Mc Do ! heureusement il n’y avait pas de nouveaux.. à part petit Orignal, mais avec la peur que je lui ai foutu à la mi-temps… il est bon pour les émotions fortes… alors ont fait l’impasse cette fois-çi….

Retour : Gibaldipontin râle, salie et petit Orignal dorment, mario et orignal conduisent, nico et guigol discutent…
Arrivés à Paris Gibaldipontin nous fait visiter tout le Val de marne et la copine de guigol devient folle à force de l’attendre à la porte d’Orléans… puis à la fin l’grosnico à Montreuil puis le gentil Orignal vers 4-5 du mat’ rentre chez lui !

Voilà… merci à tous les participants et spécialement à toi Orignal

Merci DICK BYRNE