Club Bruges KV – Bordeaux (22/11/2012)

Club Bruges KV – Bordeaux (22/11/2012)

Club Bruges KV – Bordeaux (22/11/12)

N° 207 : Club Bruges KV 1 – 2 Bordeaux (22/11/12) / Jan Breydel Stadion

Compte-rendu

Pas de compte-rendu


Club Bruges KV – Bordeaux (25/03/2004)

Club Bruges KV – Bordeaux (25/03/04)

N°7 : Club Bruges KV 0 – 1 Bordeaux (25/03/04) / Jan Breydel Stadion

Compte-rendu

Tout commence vers 14 h 30 Porte de la Chapelle pour le rendez-vous avec les membres de l’assoce Marine et Blanc Ile de France. A part Tias, je ne connais personne, mais les gars ont l’air assez sympas. Nico, le chef du groupe, fait l’appel et on part vers 15 h. Je me trouve avec Tias, Blablator (du forum MB, mais il est sympa également, comme quoi…) et Olivier (Bordelais pur souche, grand voyageur, spécialiste de l’Am Sud), qui conduit. Dès le début, ça parle foot, Anelka arrive sur le tapis et Tias distribue les claques (j’apprend que Tias et Nico A sont des jumeaux astraux). On commente les sélections de Santini et Domenech (pensée pour Micoud et Donovan, qui a du niquer un slip ) sans les connaitre vraiment (‘Et Evra, il est dans le groupe ?’, notez que nous n’aurons la réponse à cette question que vers 22 h 30 le soir-même, c’est NON ). On flippe un peu notre race suite aux propos de recoil sur les supp brugeois (‘ils sont méchants, ça va être l’Enfer’ – on nique tous un slip pour l’occasion-), mais le moral est bon. Premier coup dur : notre inexpérience dans la lecture des panneaux de signalisation nous met sur la route de Bruxelles, au lieu de Lille : rallongement de pas mal de kms a compteur . Arrêt clopes, les flippages commencent (‘Putain, on aurait du partit plus tôt), on repart. Nouveau problème d’orientation, on se gourre magnifiquement en arrivant en Belgique : 2 ème arrêt clopes, les sourires se crispent . Le conducteur oublie de faire usage de son rétroviseur et on frole l’accident. Et 4 autres slips qui passent par la fenêtre ! On trouve enfin la direction de Bruges, et nouveau problème : superbe embouteillage en arrivant dans les faubourgs de Bruges . La tension monte, on fume directement dans la voiture qui roule au pas. Nous demandons notre chemin aux voiture qui ont une écharpe du FC Bruges accroché à la vitre de leur voiture. Une tradition locale sans doute. A noter que cet embouteillage était en partie dù à un feu de signalisation au mileu de cette autoroute. On arrive dans le quartier (résidentiel) du stade, mais on ne le trouve pas, les gens se garent n’importe où, c’est le gros bordel, on flippe, et on se gare comme les autres. Problème : on est à 15 minutes à pied du stade, et il est 19 h 10 . On attaque au pas de charge, et c’est parti pour le semi-marathon (500 m en courant, pour moi, c’est l’équivalent d’un semi-marathon). On arrive au stade, on voit que le parking des visiteurs était à moitié vide.
On rentre dans le stade, enfin… il est 19 h 20 bien frappés : ouf !
Tias subit une fouille éxagérée, du jamais vu, un truc traumatisant. Superbe stade : plein comme un oeuf, belle ambiance de chant, puis plus rien ensuite, sauf de belles broncas sur les fautes bordelaises ou les fautes belges sifflées à juste titre (excellent arbitrage, au demeurant). Dans le parcage bordelais, c’est la folie : chants pendant 95 minutes, on les pousse au cul comme des malades, et le match passe à une vitesse dingue. Peu d’alertes sur le but de Ramé, à part une reprise juste avant la mi-temps qui passe juste au dessus. Bruges manque le coche, c’est fini pour eux, ce sera leur seule grosse occasion du match. Restauration et pipis à la mi-temps, on repart sur les mêmes bases, Bruges joue plus vite mais ne trouve pas la faille, Bordeaux joue aussi haut qu’en 1ère mt, et pousse en contres, sans résultats, jusqu’à la 85ème minute, ou Chamack lancé dans l’axe, élimine le goal et délivre tout le monde, enfin, surtout nous, parce que les supp belges quittent le stade à ce moment là.
On n’a jamais vraiment tremblé, mais la qualif est en poche et on a tous la banane. Le temps de s’organiser pour le retour (compliqué, ça ) et de prendre quelques photos et on repart, avec un arrêt station service blindée de supp belges, notamment quelques types bien rasés, pas trop content de nous voir débarquer. On se fait tout petits (on est 10 quand même, faut pas nous chercher ), et on discute un peu avec les plus ‘sympas’ d’entre eux (qui croient avoir la meilleure équipe du monde : Bruges, ça doit être le Marseille flamand), on consomme quelques production locales (saucisse à la bière : bof). Tias demande du feu à un belge qui lui demande s’il est de bordeaux. Tias dit oui et le belge range son briquet dans sa poche en criant PSG ! Et ça repart. Le retour passe super vite, on s’échange des souvenirs, etc. (eh Tias, on a oublé de parler d’Anelka !), en écoutant les autres matchs de la soirée à la radio.
Arrivée 1 h 45 à Paris, je dors chez Tias, et fais la connaissance de son coloc (un artiste capillaire, sans doute) et je me pieute, complètement fracassé, la voix en miettes à cause des chants et des clopes.

LE PIED !!!! Valence on t’attend

Merci MASTA